Titanic: Film Titanic La camarera del Titanic 1997
film titanic:
La chambre du Titanic est une histoire d’amour. Cette déclaration, si énorme, il faudrait peut-être nuancé: non seulement une histoire d’amour. Le film titanic suggère d’autres interprétations plus moi en vertu de ce désir qui nous amène à compter et à entendre des histoires, le zèle qui complète notre humanité et rend l’expérience d’aucun mortel à amplifier jusqu’à ce que presque l’immortalité désirée.
Parce que la création est le désir de l’immortalité, pour assurer la survie au-delà du terrible faiblesse de l’organisme. Et, chose étrange alchimie, qui se voient refuser ce droit, les bénéficiaires doivent devenir un-sentent que leur biographie, son ordinaire, est complétée par l’étrangeté de chaque histoire.
C’est, mon lecteur, l’essence même de la serveuse … Je dis mal, je, de mon point de vue, je pense qu’il est leur essence. La bande, je suis d’accord avec vous, illustrant les limites faibles entre fiction et réalité, entre le sommeil et la vie. Mais est-ce peut-être ceux-ci ne sont pas les thèmes les plus évocateurs de toute discussion sur les processus créatifs de l’art? Est-ce la conversion de la vie vécue dans la vie dans l’art? Est-ce la suppression progressive de ce qui, dans la littérature, Juan Carlos Onetti appelé « literatosis »? Le narrateur literatosis affecte tout le roman, qui arrive à peine à définir une fiction cohérente en tant que telle et, par conséquent, le type est trop imprégné de sa propre biographie: sur la bande, par exemple, les marches sales protagoniste flaque d’eau avant d’entrer dans au travail est remplacé par une autre lentille, ce qui reflète le Titanic et où votre corps retient debout serveuse mouvements. Est-ce la bande illustre la mise à distance progressive du protagoniste, dans leurs histoires de ce qui s’est passé « vraiment » ou aurait pu se produire? N’est-il pas dans chaque nouvelle version d’un plus raffiné et stylisé, moins crédible, mais tout aussi plausible?
Mais pas seulement cela. Dans un grand plaisir fou, comme le sont presque tous les mécanismes malsains pour la création de fictions, évoquant ce qu’il avait voulu, enfin, grâce à la magie de quelques oignons, finissent plus confus. Bien sûr, si nous supposons que sa confusion une histoire d’amour tronqué, et non comme une exploration subtile des mécanismes de l’art.
Et sa réception, qui est finalement une autre affaire. Tout commence avec la complicité masculine, que vous disposez de la modestie et se complaît dans l’histoire des amours extraordinaires. Peu importe que tout est un mensonge, Fallacy homme ennuyeux dans un environnement hostile, l’homme sophisme ennuyeuse que vous voulez quelque chose qui n’a jamais été la vôtre, souhaitée à cause de cela. Les auditeurs et les lecteurs que nous sommes confrontés aux films, ne s’arrêtent pas avec la minutie de ce qui est raconté est vrai ou non. L’émotion suffit de l’histoire, sa probabilité, notre désir d’être là ou notre satisfaction, à cet égard, de ne pas avoir été. L’ivresse suffisent ya toujours une nouvelle histoire, une histoire qui nous aide à comprendre nos vies et de changer. Rien n’est insignifiant que les épouses mentionné changements dans leurs chambres depuis que l’homme entend tellement énervant histoires.
Explorer les mystères du désir, dans la création de fictions, dans la nature sans cesse insatisfaite humaine … Tout cela est réuni dans la, à mon avis, le film le plus réussi de Bigas Luna, où un script très apt sonner les frontières entre rêve et réalité, entre art et vie. Un tableau de bord, souple, ondulé, avec une surprise à la fin … comme l’histoire du protagoniste de moins en moins naïf.
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