L etat de l épave du Titanic:

à l’occasion du naufrage, le paquebot s’est brisé entre les cheminées , la proue et la poupe tombant séparément. On pense que la vitesse de la dégringolade fut aux alentours de 40 à 55 km/h et que sa période fut d’approximativement 6 minutes. L’arrière, long d’approximativement 110 mètres, a chuté verticalement et est mis en terre de 15 à 18 mètres au niveau du safran du gouvernail. L’avant, long d’environ 137 mètres, a heurté le fond suivant un angle aigu; l’étrave est mis en terre de plus de 20 mètres au niveau des ancres ( ce qui rend quasiment imperceptibles les marques laissées par l’iceberg ). Prise au delà de 60 m de la proue durant l’envoi sur l’épave élaborée en 2001, la représentation sonar ci-joint dévoile une grosse quantité de précisions dont les plus repérables sont les matériels (tels que les bollards) du gaillard d’avant, le mât avant tombé, et les contours visant l’importante déchirure de la coque qui s’est produite vers l’arrière, durant la cassure.De nombreux débris sont dispersés sur le fond, à proximité de l’épave sur plus de 3 km2. Pour la quasi totalité, ils sont concentrés à proximité de la section arrière, très endommagée ( les ponts se trouvant écroulés sur eux-mêmes ), qui se trouve à à peu près 700 mètres de la section au préalable en bien plus grand pays.

Au contraire de la section avant déjà envahie par les eaux au moment du naufrage, l’arrière, rempli d’air, a été contraint à de fortes pressions au cours de la dégringolade, d’où sa dislocation et son état de délabrement. L’arrière est orienté dans l’axe de l’avant cependant s’est opposé en ayant pivoté de 180°. La majorité des parties de l’épave sont rongées par des micro-organismes et on pense qu’elles demeurent pour l’instant recouvertes par 650 tonnes de rouille. 20% de la section au préalable sont déjà dévorés par les microbes qui rongent à peu près 45 kg de fer tous les jours. La nature des dommages provoqués lors du choc contre l’iceberg a longtemps engendré polémiques. Le groupe de pilotage d’enquête de 19 douze avait établi à une brèche de 30 mètres de long. Les opérations, réalisés plus tard dès cette théorie, sont parvenus à prouver que le Titanic aurait coulé en 10 minutes, ce qui est inexacte. En 1996, on voulut apprendre quel était l’Etat réel de la « blessure » provoqués par l’iceberg sur la coque. Une expédition sur l’épave du Titanic, employant des méthodes ( dont le sonar ) rendant imaginable l’analyse les dommages sous la vase, a rendu possible de valider la théorie de Edward Wilding ( architecte naval des chantiers Harland et Wolff ) émise lors de cette affaire de 1912 et d’après laquelle, les 6 emplacements avant ayant été envahis de manière variable par les eaux, la blessure du Titanic est formée de parties distinctes. Il n’existe ainsi pas une unique ouverture béante pourtant une gamme de 6 entailles ( 3 longues et 3 courtes ) dont plusieurs ont seulement la largeur d’un doigt.

Elles sont classés sur une longueur de 76 mètres, la plus longue se trouvant située au niveau du compartiment N°6 et leur surface totale n’est que de 1 m2. D’après les calculs, approximativement 7 tonnes de flotte à la seconde se seraient engouffrées par ces brèches dans le navire. D’ innombrable morceaux de charbon arrivant des soutes sont dispersés sur plus de 2 bornes. De nombreux objets et meubles du bordure tapissent le fond de l’océan. Néanmoins, au cours de l’envoi élaborée en 2004, Robert Ballard a remarqué une grande dégradation de l’épave à cause des courantes plongées à objectif récupérateur, cinématographique ou touristique. à présent, rongé par les microbes, le nid-de-pie s’est évaporé. L’image suivante est la conséquence de la fabrication de 756 photos de la section avant du navire, prises par le groupe de Robert Ballard durant cette expédition. Cette mosaïque est scindée en 4 composants cliquables révélant chacun un agrandissement et une présentation des dégradations importantes. Dans le cadre de l’envoi de 2005, 2 gros morceaux de la section basse de la coque, en bon pays et longs de 12 m pour l’un et 27 m pour l’autre, ont été retrouvés à approximativement 500 m de la poupe de l’épave. Ces 2 morceaux ne formaient naguère qu’un seul tronçon.

Cette rubrique de la coque qui n’ont pas été repérée avant, on supposait qu’elle s’était fragmentée en un grand nombre de débris. Avant cette trouvaille, les experts imaginaient que le Titanic s’était uniquement brisé net en 2 parties. La situation des 2 morceaux de coque tend à présent à dévoiler que le navire a coulé clairement plus vite qu’on ne le croyait. La théorie émise pas les experts est que, suite à que cette section basse récupérée se soit brisée, la proue et la poupe se sont séparées. La poupe, qui était encore en surface et où s’agglutinaient les voyageurs qui essayaient de s’en sortir, se serait donc enfoncée dans les flots à peu près 5 minutes plus tard.