Titanic:Marchandises insolites, rares ou précieuses
les marchandises insolites rares et precieuses du Titanic:
Beaucoup de cargaisons transportées par le Titanic demeurent toujours inconnues. En effet, nombreuses sont celles dont la nature et la valeur précises n’avaient pas fait l’objet d’une déclaration du côté de leurs détenteurs, auprès de la White Star Line et des sociétés de protection. Dès lors, quantité de biens pour lesquels aucun témoignage n’a pu être récolté suite au naufrage, ou qui n’ont pas été réclamés par les rescapés ou leurs familles, resteront aux oubliettes … Entre autes, citons les très nombreuses malles et caisses qui accompagnaient les voyageurs de 1ère et 2ème classes: notamment, Mme Charlotte Drake Martinez Cardeza, millionnaire de Philadelphie, voyage avec 14 malles, 4 bagages et 3 caisses. Au milieu des marchandises et affaires étonnantes qui se situaient à l’intérieur et les objets précieux dont la situation était grandement certaine, on trouve: une « machine à marmelade » propriété de Edwina Celia Troutt, 27 années, vieille professeur d’écoles et passagère anglaise de 2ème classe.
Rescapée du naufrage, Edwina Troutt déposa une réclamation contre la White Star Line pour le dommage de sa machine estimée à 8s 5d un revêtement à l’huile (1,20 m x 2,40 m) de la célébrité Blondel (1781-1853), appelée « La Circassienne au Bain » et propriété de Mauritz Hakan Björnström-Steffannéesson, 28 années, attaché militaire suédois regagnant son poste dans la capitale américaine et séjourant en 1ère classe, qui demanda 100 000 $ de dédommagement une photographie dédicacée de Garibaldi, propriété de Emilio Portaluppi, passager italien de 2ème classe qui réclama 3000 $ suite au naufrage (la photographie avait été offerte à son grand-père) 7 paquet de parchemins de la Thora, propriété de Hersh L. Siebald qui réclama 250 $ suite au naufrage une cornemuse propriété de Eugene Patrick Daly, 29 années, passager irlandais de 3ème classe, qui réclama après 50 $ de dédommagement un costume algérienne propriété de Helen Alice Wilson, momentanée anglaise de 1ère classe qui réclama 5 $ suite au naufrage un bouledogue de nationalité française héros de jeu, nommé Gamin de Pycombe et propriété de Robert Williams Daniel, 27 ans, passager yankee de 1ère classe, qui réclama 750 $ de dédommagement 4 coqs et poules propriété de Ella Holmes White (Mrs John Stuart), 55 ans, momentanée yankeee de 1ère classe, qui réclama 207,87 $ de dédommagement 3 caisses d’oeuvres d’art égyptiennes propriété de Molly Brown, qu’elle ramenait d’un voyage en Egypte, et destinées au Musée de Denver une momie que John Jacob Astor aurait ramenée de son voyage en Egypte un sac ou une caisse qui contiendrait des pierres précieuses d’un montant totale de 300 millions de dollard, elle-même enfermée à l’intérieur d’un coffre-fort, que la société minière De Beers d’Afrique du Sud, confiante dans la protection du Titanic, aurait fait balader aux states (l’origine de ces pierres précieuses est suffisamment imprécise parce que cette « marchandise » ne paraît pas avoir été escortée par quelque passager au cours de la traversée et n’a pas fait l’objet d’une déclaration aux sociétés d’assurances) la duplique des Rubaiyat, manuscrit persan du XIIème siècle, du poète, astronome et mathématicien Omar Khayyam (1047-1123).
Cette duplique, qui avait été effectuée par Monsieur. Sangorski et Sutcliffe de Londre, était illustrée par Elihu Vedder et ornée de 1050 pierres précieuses montées sur or 18 carats, et de 5000 morceaux de cuirs de colorés et 9 m2 de dorures à la feuille d’or 22 carats sur la couverture et la doublure. Elle avait nécessité 2 années de boulot et avait été commercialisée à un un acheteur américain, négociant en ouvrages, désigné Gabriel Weis pour le montant de 405 £ dans une vente aux enchères pour le printemps 1912 chez Sotheby’s, dans la capitale anglaise .
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