Titanic: La disparition de l’épave du Titanic
épave du Titanic:
D’après une scientifique canadienne, Henrietta Mann, qui a consacré quatre années d’exploration à la problèmatique, des milliards de microbes d’une vingtaine d’espèces s’en prennent à l’épave du Titanic qui repose par 3.800 mètres de fond. D’ici vingt à trois décennies, il ne pourrait plus rien demeurer du navire, si ce n’est un tas de rouille. Biologiste et géologue bossant pour la grande école Dalhousie d’Halifax (est), Henrietta Mann a obtenu des « rusticles *» -entendons « d’étranges excroissances en forme de glaçons »- qui ont poussé sur la coque du Titanic.
Certains d’entre-eux atteignent le calibre d’un homme! Ces échantillons récupérés dans le cadre d’une grande expédition scientifique sous-marine en 1991 avaient été conservés à l’organisme Bedford d’océanologie, qui en a confiés certains specimens à Henrietta Mann, pour un examen sous microscope électronique. Et là, surprise : ces mélanges de rouille et de glace ne correspondent pas une dégradation résultant d’un mécanisme chimique, qui fait rouiller le fer bien que l’article final ressemble légérement à la rouille classique! Il est question en fait de milliards de microbes d’une vingtaine d’espèces -dont la chercheuse en a trouvé une prochaine, la Halomonas Titanicae, qui « mâchent » l’acier et le métamorphosent en cristaux de fer, tant a l’ intérieur qu’à l’extérieur de leur organisme.
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