Titanic: Des événements prémonitoires
les evenements premonitoires du Titanic:
Le 22 Mars 1886, le célèbre spiritualiste et publiciste britannique William Thomas Stead, détenteur de la magazine « Pall Mall Gazette » rédigé un post nommé « Comment le Paquebot Poste sombra au milieu de l’Atlantique, par un Survivant ». Ce sujet relate qu’un paquebot, sannées nom, entre en collision avec un autre navire et, qu’en motif d’un nombre insignifiant de canots de sauvetage, on regrette la perte une multitude de vies humaines. Stead rédigé: « C’est précisément ce qui serait en mesure de se créer et se produira si les paquebots sont lancés avec pas beaucoup de canots ». Dans le numéro de Noël 1892 de la « Review of Reviews » qu’il vient de bâtir, William Thomas Stead publie un autre sujet nommé « De l’ancien Monde au Nouveau ». Ce sujet est dédié à une traversée imaginaire société par Stead pour aller aux Etats Unis sur un paquebot de la White star Line bien vrai, lui, le Majestic.
Le Commandant du navire n’est autre qu’un certain E. J. Smith. Durant cette traversée, le Majestic recueille à son bord les survivants du paquebot Ann and Jane, qui a heurté une montagne de glace et coulé dans l’Atlantique. Stead indique son post de facon lugubre par: « Les océans parcourus par de rapide paquebots sont jonchés des os blanchis des personnes qui ont intégré pareil que nous et qui ne sont jamais arrivés à bon port ». Vingt ans par la suite, il intégrera sur le Titanic acheté par le Commandant Edward J. Smith et disparaîtra dans le naufrage. Une journée, William Thomas Stead fonctionne le long du Strand, au centre de la city, avec d’un jeune correspondant prometteur désigné Shaw Desmond. Celui-ci tente de parler d’un post qu’il est en train de rédiger pour la « Review of Reviews », néanmoins Stead amène la conversation sur son prochain périple. Il indique qu’il va très vite partir sur le Titanic, nouveau paquebot réputé insubmersible, dont il vante les qualités.
Desmond n’a jamais entendu parler du Titanic. A un instant, Desmond s’écarte faiblement de Stead. Une étrange sensation saisit subitement le jeune correspondant, un sentiment qu’il décrira par la suite: « J’ai eu pour la première fois de ma vie, mais pas la dernière, la croyance d’une décédé toute proche. Dans cet état, c’était que l’individu qui était à mes côtés allait décéder. C’était incontrôlable et je me sentais en fait impuissant. Je ne l’associai pas, également, un moment au transatlantique dont il venait de me parler ». Desmond prenne la décision de ne pas parler de ce subitement pressentiment et les personnages se quittent. Arrivé à son domicile, Desmond a l’heureuse inspiration de griffonner une courte note sur sa prémonition et la date pour « indexe future ». Plusieurs jours après, la nouvelle du drame arrive au royame-uni. En dépit des premières potins déclarant que Stead a survécu, Desmond est certain qu’elles sont fausses et que son pressentiment se vérifiera. « Il n’a pas survécu » dit Desmond à son épouse, « Il s’est noyé ». Vraiment, William Thomas Stead réalisera rubrique des victimes.
En 1898, l’écrivain yankee Morgan Robertson (1861-1915) publie, aux éditions M. G. Mansfield, son ouvrage « Futility » au travers duquel un paquebot britannique, nommé Titan, heurte un iceberg et coule lors de sa 4ème traversée, au mois d’Avril dans l’Atlantique Nord, en n’ayant à son bord que la quantité strict de canots de sauvetage réglementaires mais modeste pour la quantité de personnes. Ce navire imaginaire, réputé insubmersible, est quasiment équivalent au Titanic par ses mensurations, sa vitesse, ses emménagements magnifique et la quantité de ses personnes (à la fois riches et pauvres) et celui des victimes.
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